Les types de ruches:

il existe beaucoup de types de ruches et de sous ruches je vais vous parler de 4 d’entre-elles.

La ruche naturelle : les abeilles fabriquent elles-même les « rayons » du haut vers le bas . l’apiculteur laissent donc les abeilles construire l’intérieur de la ruche , quand celles-ci on fini de mettre l’opercule , l’apiculteur casse la ruche pour récupérer le miel
l’inconvénient restant que les abeilles perdent du temps à reconstruire la ruche à chaque fois.

la ruche Dadant : son inventeur est Charles Dadant . Cette ruche est la ruche la plus utilisées en Europe . contrairement à la précédente , elle comporte des cadres dans lesquels les abeilles déposent leur miel gagnant ainsi un temps précieux et évitant ainsi l’apiculteur de détruire leur travaille.

La ruche Langstroth : la ruche Langstroth , crée par Lorenzo Lorraine Langstroth , un pasteur américain , est une ruche verticale à cadres comparable à celle de Dadant . Son avantage vient du fait que :
-la ruche fait ⅔ de la ruche Dadant mais reste plus productive
-elle est faite de manière à se que les abeilles ne produisent pas de propolis
-permet une récolte délicate du miel

La ruche gratte ciel :C’est le Révérend Père Dugat qui a mis au point cette technique de production intensive.
Au printemps , on superpose plusieurs corps de ruches ou chacun contient un essaim constituer d’une reine, d’ouvrières et de combattantes . Chaque corps est séparés par une grille a reine se qui signifie que seul la reine est bloquer chaque colonie garde sa reine les abeilles on donc l’impression quil y a plus à faire ( remplir les alvéoles ) se qui augmente la production de miel . Chaque abeilles travaillant pour TOUT les essaims les jeunes abeilles deviennent butineuses plus tôt .
D’après le Père Dugat, le rendement en miel des colonies superposées s’obtient en multipliant par deux le nombre de reines du gratte-ciel. Ainsi un gratte-ciel de trois reines rapporte 3 X 2 = six fois plus que trois ruches séparées ne produisent ensemble.
Ces conditions offre les avantages suivants :
-le couvain se développe beaucoup plus vite grâce à une température régulière à l’intérieur
-les plus hautes ayant un couvain à accroissement plus rapide
-Les essaims se rendent service mutuellement.
-L’orfelinage oblige les essaims à ne s’occuper de la reconstitution que d’un seul nid à couvain, d’où peu de pollen ramassé



Structure de la ruche imageStructure de la ruche imageStructure de la ruche image
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